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  • Un merci profond et sincère

    Écrire ce livre consacré à la mémoire de la famille Stoppele a été une aventure à la fois intime et historique. Chaque page est le fruit d’une recherche, d’un souvenir confié, d’un document retrouvé, mais aussi d’un geste de solidarité et de bienveillance.
    Sans vous, ce projet n’aurait jamais pu voir le jour.

    25 aprile 1945, Verona libera...

    Je tiens donc à exprimer ma reconnaissance à toutes celles et ceux qui ont contribué à nourrir ce travail :

    • À l’ANPI Verona(Association Nationale des Partisans d’Italie), pour leurs archives et leurs documents essentiels.
    • À Giovanni Piccirilli, de la Bibliothèque Civique de Vérone, pour sa disponibilité.
    • À Elisa Stoppele, de la mairie de Badia Calavena, pour son aide précieuse.
    • À Claudine Stoppele, dont la mémoire vivante a éclairé bien des pages.
    • À Renzo Zerbato, pour ses informations et son regard éclairé.
    • À Dominique Stoppele, première lectrice et conseillère attentive.
    • Aux habitants de Sant’Andrea di Badia Calavena, qui ont pris le temps de répondre à mes questions.
    • À Maria Marianna Stoppele, pour ses interviews riches d’humanité.
    • Aux Mairies de Vérone et de Badia Calavena, pour leurs monuments et les rues qui rappellent l’histoire de la famille Stoppele.
    • Au journal L’Arena, ainsi qu’à Il Giornale, pour leurs publications.

    Et enfin, un immense merci du cœur à mes fidèles amoureuses Uva & Sheyenn… car derrière chaque histoire, il y a aussi l’amour et le soutien qui donnent la force d’aller jusqu’au bout.

    Ce livre n’est pas seulement le mien : il est aussi le vôtre. Il est la preuve que la mémoire vit lorsque nous la faisons circuler, ensemble.

    Filippo Stoppele

  • Agostino et Nella : un instant de vie sur la Piazza San Marco

    Sur une photographie en noir et blanc légèrement teintée de sépia, datée des années 1950-1960, on aperçoit Agostino Stoppele, élégamment vêtu, posant sur la célèbre Piazza San Marco à Venise. Chapeau fedora incliné, canne à la main, son allure reflète le raffinement d’une époque révolue. À ses côtés, une silhouette féminine : sa fille Nella, vêtue d’une robe légère et de gants, dont la grâce ajoute à la scène un parfum intemporel.

    Cette image, au-delà de son esthétisme, raconte une histoire de vie. Après le décès de son épouse Angelina, Agostino était retourné s’installer à Vérone, non loin de Sant’Andrea di Badia Calavena. Parmi ses enfants, seule Ermelinda avait choisi de revenir vivre en Italie : elle y ouvrit une boucherie, devenant une figure commerçante dans son quartier. Nella, quant à elle, resta en France après l’exode de la famille durant la guerre. Elle vivait à Eauze, dans le Gers, et rendait visite de temps à autre à son père en Italie. Longtemps témoin de ce pan d’histoire familiale, elle s’est éteinte à l’âge remarquable de 99 ans.

    Cette image, au-delà de son esthétisme, raconte une histoire de vie. Après le décès de son épouse Angelina, Agostino était retourné s’installer à Vérone, non loin de Sant'Andrea di Badia Calavena.

    La photographie fige aussi une atmosphère particulière : celle d’une Venise qui, déjà dans ces années-là, attirait voyageurs et touristes du monde entier. Sur la Piazza San Marco, les pigeons animent la scène tandis que l’architecture environnante – arches byzantines, colonnes sculptées, volets verts typiquement vénitiens – témoigne de l’éclat du lieu. Un détail se distingue nettement : la statue des Tétrarques, ces quatre empereurs romains figés dans la pierre, accolée à la Basilique Saint-Marc près de la porte nord. Leur présence, mystérieuse et imposante, ajoute une profondeur historique à cette photo de famille.

    Mais derrière la beauté de ce cliché se dessine aussi l’écho d’un destin collectif. Agostino était le frère de Palmino Stoppele, partisan engagé, et donc l’oncle de Silvino et Maria Stoppele. Ainsi, au croisement de l’intime et de l’Histoire, cette photographie nous offre bien plus qu’une scène de voyage : elle transmet la mémoire d’une famille, ses allers-retours entre Italie et France, ses racines et ses héritages.

  • Maria Stoppele, dite Kira, au cœur de la Résistance avec Pasubio

    Sant’Andrea di Badia Calavena, 1944 – Dans les collines qui bordent Vérone, la Résistance italienne prend corps autour de la Division Pasubio, formation partisane commandée par le chef connu sous le nom de Vero. Au sein de cette unité, une figure féminine émerge : Maria Stoppele, surnommée Kira.

    Engagée auprès des partigiani, Kira assure des missions de liaison et de ravitaillement. Elle parcourt les sentiers abrupts reliant les hameaux de la vallée, souvent sous les yeux de patrouilles fascistes et allemandes. Son courage lui vaut rapidement l’estime de ses compagnons d’armes.

    Drapeau résistance Pasubio
    drapeau de la division partisanne Pasubio

    Le drapeau de la Division Pasubio, brandi lors des rassemblements clandestins, devient alors un signe de ralliement et de défi face à l’occupant. Dans les mémoires locales, on raconte que Kira n’hésitait pas à porter elle-même cette bannière, malgré les risques, lors de cérémonies improvisées dans les bois autour de Sant’Andrea di Badia Calavena.

    À l’été 1944, les combats s’intensifient et la répression s’abat sur les villages de la province de Vérone. Mais la Division Pasubio, sous la direction de Vero, poursuit sa lutte. Maria Stoppele y demeure un symbole : celui d’une jeunesse qui choisit de résister, armée de détermination et d’un idéal de liberté.

    Vérone – L’ANPI Verona (Associazione Nazionale Partigiani d’Italia) poursuit, avec une énergie intacte, sa mission de transmission de la mémoire de la Résistance. À travers commémorations, recherches historiques et initiatives pédagogiques, l’association honore le combat des partigiani qui, en 1944, ont lutté contre l’occupation nazie et le fascisme dans les vallées et montagnes de la province.

  • Palmino et Silvino, deux héros tombés pour l’Italie en 1944

    Septembre 1944. Alors que l’Italie est encore meurtrie par l’occupation allemande et les derniers soubresauts du fascisme, deux jeunes hommes, Palmino et Silvino Stoppele, paient de leur vie leur engagement pour la liberté. Abattus par les troupes nazies, ils laissent derrière eux non seulement leurs familles mais aussi une mémoire vive, que leur village et leur région s’efforcent encore aujourd’hui de préserver.


    Deux destins liés à la Résistance

    Palmino et Silvino Stoppele n’étaient pas des soldats de carrière, mais des hommes ordinaires animés d’une volonté extraordinaire : refuser l’asservissement et défendre leur patrie. Leur courage les amène à rejoindre les partisans, ces combattants de l’ombre qui sabotaient, renseignaient, protégeaient la population civile.
    Leur implication leur valut rapidement d’être repérés par les forces d’occupation. En septembre 1944, leur route s’arrête brutalement : ils sont capturés puis exécutés, exemples terribles de la répression qui s’abattait sur ceux qui osaient dire « non ».

    Une mémoire gravée dans la pierre

    Badia Calavena

    Un héritage pour les générations futures

    Aujourd’hui encore, leurs noms résonnent. Des plaques commémoratives rappellent leur sacrifice, fixées sur les murs où ils vécurent ou là où ils tombèrent. Des rues portent leurs noms et prénoms, obligeant chaque passant à lever les yeux et à se souvenir. Dans certaines communes, des cérémonies annuelles rassemblent habitants, anciens combattants et scolaires autour de monuments élevés en leur mémoire.
    Ces hommages sont autant de rappels : la liberté n’a pas été donnée, elle a été conquise au prix du sang.

    Se souvenir de Palmino et Silvino, c’est se souvenir que derrière chaque nom gravé sur une plaque se cache une histoire, une famille, une jeunesse brisée mais digne. Leur dévouement, loin de n’être qu’un fait du passé, interroge notre présent : que sommes-nous prêts à défendre aujourd’hui ?
    Dans un monde où la mémoire s’efface parfois trop vite, redonner vie à ces parcours, les raconter, les transmettre, est une forme de résistance à l’oubli.

  • Le martyre de Palmino et Silvino Stoppele

    Le 12 septembre 1944, à l’aube, la petite localité de Sant’Andrea di Badia Calavena fut frappée par l’une des opérations les plus brutales de la répression nazifasciste. Dans le cadre de l’« Operazione Timpano », conçue pour anéantir la division partigiane Pasubio commandée par Giuseppe Marozin, dit Vero, les SS et les Brigate Nere s’acharnèrent sur la famille Stoppele.

    Ce jour-là, Palmino Stoppele, propriétaire de la locanda La Colomba, et son fils Silvino, étudiant en médecine à Padova, furent arrêtés chez eux.

    Palmino e Silvino Stoppele de Sant'Andrea di Badia Calavena.

    Mais cette absence de preuves ne pesa pas face à la logique implacable de la terreur. Les deux hommes furent emmenés et, après quatre jours de tortures, exécutés froidement. L

    Aujourd’hui encore, le souvenir de Palmino et Silvino Stoppele reste indissociable de celui de ces années sombres, marquées par la violence des rafles et par le courage de ceux qui, malgré la peur, choisirent d’aider les combattants de la liberté.

  • Sant’Andrea, 12 septembre 1944 : la tragédie de la famille Stoppele et le destin de Maria.

    Dans leur auberge, La Colomba, la famille Stoppele accueillait sans distinction fascistes, partisans et même parachutistes anglais en fuite. Ce fragile équilibre prit fin dans le sang le 12 septembre 1944, lorsque des SS venus de Brescia, appuyés par une colonne fasciste de Vérone, menèrent une vaste rafle. Ce jour-là, non seulement la famille Stoppele fut frappée de plein fouet, mais aussi tout le village de Sant’Andrea di Badia Calavena.

    Le contexte explosif de la Résistance

    Dans les mois précédents, les attaques répétées de la Division Pasubio, sous les ordres du commandant Giuseppe Marozin, dit Vero, avaient contribué à tendre la situation. Originaire d’Arzignano, Marozin était un chef controversé, soupçonné par le Comité de libération nationale de Vicence d’insubordination et critiqué par la Résistance véronaise pour ses méthodes brutales et autoritaires. Ses actions visaient parfois davantage à régler des comptes personnels qu’à combattre pour la démocratie.

    Photo Eglise de Sant'Andrea di Badia Calavena - Crédit Photo : Filippo Stoppele.

    Maria, de la douleur à la lutte

    Parmi les victimes indirectes de cette répression, Maria Stoppele, alors âgée d’une vingtaine d’années, vit son père et son frère assassinés. Ce drame la poussa à s’engager plus résolument dans la Résistance. Sous le nom de guerre Kira, elle rejoignit la bande de Marozin et le suivit ensuite jusqu’à Milan, lorsque la situation en Lessinia devint trop dangereuse pour elle.

    Selon ses propres récits, Maria aurait fait partie du groupe partisan qui captura Mussolini à Dongo, lors de sa tentative de fuite vers la Suisse. Elle affirma avoir eu la charge de surveiller Claretta Petacci, compagne du dictateur. Elle raconta plus tard que Petacci ne devait pas être exécutée, mais qu’elle fut tuée dans la confusion, s’étant jetée au cou du Duce au moment de l’exécution. Maria ajoutait que ce fut elle qui recomposa le corps de Petacci, exposé à Milan, piazzale Loreto.

    Une famille marquée par le courage et le sacrifice

    Après la guerre, Maria épousa le partisan Antenore Antemi, dit Tenore, originaire de San Bortolo. L’histoire de la famille Stoppele est restée gravée dans la mémoire collective :

    • Maria reçut la médaille d’argent pour sa participation active à la lutte de libération.
    • Son frère Rino fut décoré de la médaille d’argent pour ses faits d’armes à El Alamein.
    • Le père et l’autre frère, Silvino, tombés sous la violence de la répression nazi-fasciste, furent décorés de la médaille de bronze à titre posthume.

    Quatre médailles, quatre destins brisés ou marqués à jamais par la guerre.

  • Filippo Stoppele: un primo romanzo

    Filippo Stoppele: un primo romanzo che restituisce voce alla memoria – Kira… ho catturato Mussolini

    Lo scrittore Filippo Stoppele si appresta a pubblicare la sua prima opera, un racconto che unisce memoria familiare, rigore storico e respiro romanzesco. Tra pochi giorni uscirà in libreria Kira… ho catturato Mussolini, pubblicato simultaneamente in versione francese e in versione italiana.

    Una sfida ambiziosa per un primo libro: dare vita a una storia vera, a lungo sepolta nel silenzio, e condividerla con il maggior numero di lettori possibile.


    Un’eroina dimenticata della Storia

    Si chiamava Kira.
    Sotto il regime fascista, avrebbe potuto scegliere il silenzio e la paura. Ha preferito opporsi all’ingiustizia.

    Il romanzo ripercorre il destino eccezionale di questa giovane donna, precipitata suo malgrado nella tempesta della Seconda guerra mondiale. Da semplice cittadina diventa resistente, guidata dalla convinzione che la libertà e la dignità valgano più della propria sicurezza.

    Attraverso le sue scelte, i suoi sacrifici e il suo coraggio, Kira incarna la voce di coloro che la Storia ha troppo spesso lasciato ai margini.


    Un racconto nato dagli archivi e dalla memoria familiare

    Kira… ho catturato Mussolini non è una semplice finzione. Filippo Stoppele si è basato su archivi dimenticati e su segreti di famiglia a lungo taciuti per costruire questo racconto. Incrociando ricordi, documenti storici e testimonianze, ridà vita a una storia che avrebbe potuto svanire.

    Questo lavoro di memoria trasforma il romanzo in un’immersione viva in un’epoca oscura, ma anche in un vibrante omaggio agli anonimi che hanno scelto di resistere.


    Un primo libro, una doppia edizione

    La scelta di pubblicare questo primo romanzo sia in francese sia in italiano non è casuale. Riflette la volontà dell’autore di rivolgersi a due memorie, due sensibilità, ma a un unico patrimonio: quello dell’Europa segnata dalla guerra e dalla lotta contro i totalitarismi.

    Questa doppia edizione permette inoltre di dare una risonanza internazionale alla storia di Kira, e di raggiungere sia i lettori francofoni sia quelli legati alla memoria italiana.


    Un blog per prolungare l’avventura

    Con questo blog, Filippo Stoppele desidera creare uno spazio di scambio con i suoi lettori. Attualità, riflessioni, aneddoti di scrittura: ogni articolo sarà l’occasione per comprendere meglio il suo lavoro e scoprire i retroscena di questo progetto letterario.

    Kira… ho catturato Mussolini è solo l’inizio di un percorso da scrittore. L’autore lo afferma: il suo obiettivo è continuare a esplorare le zone d’ombra della Storia, dare voce a chi è stato ridotto al silenzio e condividere questi racconti con un pubblico sempre più ampio.


    📖 Il libro uscirà tra pochi giorni.
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    Un’avventura letteraria comincia, e siete invitati a farne parte fin da oggi.

  • Filippo Stoppele : un premier roman qui redonne voix à la mémoire – Kira… j’ai capturé Mussolini

    Kira… j’ai capturé Mussolini

    L’écrivain Filippo Stoppele s’apprête à publier son tout premier ouvrage, un récit qui mêle mémoire familiale, rigueur historique et souffle romanesque. Dans quelques jours sortira en librairie Kira… j’ai capturé Mussolini, publié simultanément en version française et en version italienne.

    Un pari ambitieux pour un premier livre : donner vie à une histoire vraie, longtemps enfouie dans le silence, et la partager avec le plus grand nombre.

    Une héroïne oubliée de l’Histoire

    Elle s’appelait Kira.
    Sous le régime fasciste, elle aurait pu choisir le silence et la peur. Elle a préféré se dresser contre l’injustice.

    Le roman retrace le destin exceptionnel de cette jeune femme plongée malgré elle dans la tourmente de la Seconde Guerre mondiale. D’abord simple citoyenne, elle devient résistante, guidée par la conviction que la liberté et la dignité valent plus que sa propre sécurité.

    À travers ses choix, ses sacrifices et son courage, Kira incarne la voix de celles et ceux que l’Histoire a trop souvent laissés de côté.

    Un récit né des archives et de la mémoire familiale

    Kira… j’ai capturé Mussolini n’est pas une simple fiction. Filippo Stoppele s’est appuyé sur des archives oubliées et des secrets de famille longtemps tus pour bâtir ce récit. En croisant souvenirs, documents historiques et témoignages, il redonne vie à une histoire qui aurait pu disparaître.

    Ce travail de mémoire transforme le roman en une plongée vivante dans une époque sombre, mais aussi en un hommage vibrant aux anonymes qui ont choisi de résister.

    Un premier livre, une double édition

    Le choix de publier ce premier roman à la fois en français et en italien n’est pas anodin. Il reflète la volonté de l’auteur de s’adresser à deux mémoires, deux sensibilités, mais un seul héritage : celui de l’Europe marquée par la guerre et par la lutte contre les totalitarismes.

    Cette double édition permet aussi de donner une résonance internationale à l’histoire de Kira, et de toucher aussi bien les lecteurs francophones que ceux attachés à la mémoire italienne.

    Un blog pour prolonger l’aventure

    Avec ce blog, Filippo Stoppele souhaite créer un espace d’échange avec ses lecteurs. Actualités, réflexions, anecdotes d’écriture : chaque article sera l’occasion de mieux comprendre son travail et de découvrir les coulisses de ce projet littéraire.

    Kira… j’ai capturé Mussolini n’est que le début d’un parcours d’écrivain. L’auteur l’affirme : son objectif est de continuer à explorer les zones d’ombre de l’Histoire, de donner une voix à ceux qui ont été réduits au silence, et de partager ces récits avec un public toujours plus large.

    📖 Le livre sortira dans quelques jours.
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