Écrire ce livre consacré à la mémoire de la famille Stoppele a été une aventure à la fois intime et historique. Chaque page est le fruit d’une recherche, d’un souvenir confié, d’un document retrouvé, mais aussi d’un geste de solidarité et de bienveillance.
Sans vous, ce projet n’aurait jamais pu voir le jour.

Je tiens donc à exprimer ma reconnaissance à toutes celles et ceux qui ont contribué à nourrir ce travail :
- À l’ANPI Verona(Association Nationale des Partisans d’Italie), pour leurs archives et leurs documents essentiels.
- À Giovanni Piccirilli, de la Bibliothèque Civique de Vérone, pour sa disponibilité.
- À Elisa Stoppele, de la mairie de Badia Calavena, pour son aide précieuse.
- À Claudine Stoppele, dont la mémoire vivante a éclairé bien des pages.
- À Renzo Zerbato, pour ses informations et son regard éclairé.
- À Dominique Stoppele, première lectrice et conseillère attentive.
- Aux habitants de Sant’Andrea di Badia Calavena, qui ont pris le temps de répondre à mes questions.
- À Maria Marianna Stoppele, pour ses interviews riches d’humanité.
- Aux Mairies de Vérone et de Badia Calavena, pour leurs monuments et les rues qui rappellent l’histoire de la famille Stoppele.
- Au journal L’Arena, ainsi qu’à Il Giornale, pour leurs publications.
Et enfin, un immense merci du cœur à mes fidèles amoureuses Uva & Sheyenn… car derrière chaque histoire, il y a aussi l’amour et le soutien qui donnent la force d’aller jusqu’au bout.
Ce livre n’est pas seulement le mien : il est aussi le vôtre. Il est la preuve que la mémoire vit lorsque nous la faisons circuler, ensemble.
Filippo Stoppele